Sous le chalet, par Victor Delbergé

Diana Korobkina - Orage
Diana Korobkina – Orage

Certains lieux isolés, où on peut se cacher, sont propices à l’amour. Delbergé écrit ainsi dans les derniers vers du poème « Horizon» :

Je n’avais pu trouver, je crois,
Cette maison où dans l’enfance
Nous avions aimé tant de fois.

Les tempêtes et les orages font de ces lieux des refuges opportuns, favorables à l’éclosion de l’intimité amoureuse : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…

Rêverie, par Victor Delbergé

Kate Greenaway - Brother and sister
Kate Greenaway – Brother and sister – provient de iamachild.wordpress.com

Le poète occitan Delbergé aime la nature et beaucoup d’autres choses, mais préfère son amour de jeunesse Lucie Planques. Comme il écrit dans la dernière strophe du poème « Ce que j’aime » :

Mais j’aime mieux, vois-tu L…, ton doux sourire,
Et tes petites mains et ta bouche où respire
Ce que voudrait cacher, je crois, ton jeune cœur.

Six des poèmes de Mes baisers de vingt ans sont en effet dédiés à Lucie, et j’ai choisi le plus tendre d’entre eux : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…

La risette, par Victor Delbergé

Émile Munier - Portrait de Marie-Louise
Émile Munier – Portrait de Marie-Louise (1879) – provient de emilemunier.org

L’écrivain occitan Victor Delbergé naquit le 1er mars 1850 et mourut en septembre 1920. On sait peu de choses sur sa vie, il participa à diverses revues littéraires. En 1880 il publia sous l’égide de l’Académie des muses santones un court recueil de vers sous le titre Mes baisers de vingt ans. Comme il l’explique dans la préface, il s’agit d’une œuvre de jeunesse écrite juste avant son vingtième anniversaire, qui dormit ensuite dans un tiroir, jusqu’à ce qu’il reprenne ces poèmes et choisisse le titre du recueil. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…