
Le poète occitan Delbergé aime la nature et beaucoup d’autres choses, mais préfère son amour de jeunesse Lucie Planques. Comme il écrit dans la dernière strophe du poème « Ce que j’aime » :
Mais j’aime mieux, vois-tu L…, ton doux sourire,
Et tes petites mains et ta bouche où respire
Ce que voudrait cacher, je crois, ton jeune cœur.
Six des poèmes de Mes baisers de vingt ans sont en effet dédiés à Lucie, et j’ai choisi le plus tendre d’entre eux : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…