
Dans la section Frissons de son recueil La Beauté de vivre publié en 1900, Gregh nous donne un poème mélancolique, le rêve d’un amour qui décline comme l’automne, perdant ses fleurs dans une lumière blafarde, avant de finalement mourir dans le froid d’une séparation. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…