Dans Les matins d’or et les nuits bleues, la première partie du recueil Les pommiers en fleur : idylles de France et de Normandie d’Émile Blémont (1891), j’ai choisi ce beau poème, plein de tendresse, où l’auteur chante l’éveil et l’amour envers sa « petite inspiratrice », avec qui il veut être « comme Dante et Béatrice » et cueillir des fleurs qui ne se faneront jamais. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
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Un poème par Raymonde, de la Pédagogie Freinet
Voici mon troisième extrait du recueil Comme je te le dis ! publié par la Pédagogie Freinet en 1978 chez Casterman. Tout comme le précédent, ce poème sans titre a été écrit par une fille de l’école de Mornac (Charente). Sa beauté repose sur une grande simplicité, où le sentiment s’exprime directement, sans détour. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Les matins d’or et les nuits bleues d’Émile Blémont
Émile Blémont, de son vrai nom Léon-Émile Petitdidier, est un écrivain français, né à Paris le 17 juillet 1839 et mort dans cette même ville le 1er février 1927. Très prolifique, il a laissé de nombreux recueils de poèmes, plusieurs pièces de théâtre, des traductions françaises d’œuvres en anglais, etc. Très actif dans son milieu professionnel, il fonda et anima plusieurs revues littéraires ; il fut également l’un des fondateurs de la Société des poètes français et de la Maison de poésie. Il fut lié à Victor Hugo, aux poètes du Parnasse et aux poètes symbolistes, en particulier Paul Verlaine. Arthur Rimbaud lui offrit le manuscrit de son sonnet Voyelles, qui se trouve aujourd’hui au Musée Rimbaud. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Daisy, by Francis Thompson
After being rescued from vagrancy, the poet Francis Thompson was brought by Wilfrid and Alice Meynell to Our Lady of England Priory in Storrington, West Sussex, where he stayed in order to recover from his opium addiction. In his “Biographical Note” introducing Selected Poems of Francis Thompson, Wilfrid Meynell wrote: CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
❀ Deux cent fleurs ❀
Agapeta, deux cent déclarations d’amour…
Poètes et amoureux, vous avez chanté deux cent fois ! Fêtons ce succès avec une multitude de fleurs, ouvertures secrètes sur la passion… CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
La Fleur de mes Rêves, par Brigitte, de l’École Freinet
Voici ma troisième sélection du livre Poèmes d’enfants publié par l’École Freinet chez Casterman en 1975 : une fantaisie onirique et sentimentale, dans laquelle une petite fille lie son sort à une fleur. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Noces Carmin — Onze Fleurs (deuxième version)
Ma belle et moi, opposés en tout, irrésistiblement attirés, avons célébré nos noces chimiques, chaudes, fleuries et colorées. L’aube rouge se lève sur la guirlande de roses de notre union, qui brûle de la plus belle philosophie. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
La fleur du dixième jour (deuxième version)
La fleur qui s’ouvre est une porte sur le jardin des délices. Jour après jour, elle s’ouvre, nouvelle porte, menant à d’autres délices. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Poésies, par Isidore Ducasse
Isidore Lucien Ducasse, né à Montevideo (Uruguay) le 4 avril 1846, et mort à Paris le 24 novembre 1870, est connu surtout pour Les Chants de Maldoror qu’il publia en Belgique en 1869 sous le pseudonyme de Comte de Lautréamont. En 1870 il fit publier publier à Paris sous son nom, Isidore Ducasse, deux fascicules de ses Poésies. Le site Maldoror précise à ce propos :
Ducasse semble avoir voulu en faire une “publication permanente”, à l’image des très nombreuses feuilles qui se publiaient à la fin du second Empire. Il n’aura eu le temps de faire paraître que deux fascicules de ce mystérieux périodique, déposés l’un le 9 avril et l’autre le 14 juin 1870, mais découverts seulement en 1891 par Remy de Gourmont. Il faudra attendre 1919 pour qu’André Breton recopie ces textes sur l’exemplaire unique de la Bibliothèque Nationale et les publie dans Littérature.
En effet, Ducasse mourut peu après, et ne put donc pas préparer des fascicules supplémentaires. Malgré son titre, Poésies n’est pas un recueil de vers, ni même de poèmes en prose ; il s’agit plutôt d’une suite d’aphorismes et de réflexions sur la littérature. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Fleur d’Eau, par Pierre Louÿs
Je reproduis ici le dix-huitième poème de la collection Premiers Vers, rassemblant les œuvres d’adolescence et de jeunesse de cet écrivain, pleines de fraîcheur. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…