Voici ma troisième sélection dans le recueil de vers La Chanson des Gueuses ; Broustaille y dénonce à nouveau la prostitution juvénile. Le poète s’éveille à côté d’une toute jeune fille, et le remords le ronge. Finalement, l’auteur ne voit pas d’autre issue que la miséricorde divine à la mort de la prostituée… CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
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Pauvre gamine que l’on rosse, par Rémy Broustaille
Ma deuxième sélection du recueil de vers La Chanson des Gueuses est le poème qui suit celui que j’ai présenté dans mon dernier article. À nouveau, Broustaille se plaint de la misère qui pousse de très jeunes filles à la prostitution : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Le toucheron, par Georges Gourdon
Voici un deuxième poème de l’écrivain français Georges Gourdon. Celui-ci parut dans son recueil Les Villageoises paru en 1887. Il fut repris dans l’Anthologie des poètes français du XIXème siècle éditée par Alphonse Lemerre en 1887-1888. Celle-ci présente l’auteur et son œuvre, on y lit : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
De Quincey et la petite fille misérable, d’après Baudelaire
Après le recueil de poèmes Les Fleurs du mal, l’œuvre la plus célèbre de Charles Baudelaire est l’essai Les Paradis artificiels, publié en 1860, consacré à l’usage récréatif des drogues, plus précisément du haschisch et de l’opium. Il connut un large succès, il reste un exposé classique des effets de la drogue, comme l’exaltation, puis la dépendance et la souffrance. D’ailleurs l’expression “paradis artificiels” est couramment utilisée pour désigner l’utilisation de drogues (en particulier hallucinogènes) pour stimuler l’imagination ou enivrer les sens. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
The wretched little girl in De Quincey’s Confessions
The English writer Thomas Penson De Quincey (b. August 15, 1785; d. December 8, 1859) knew fame with his Confessions of an English Opium-Eater, published anonymously in two parts in the September and October 1821 issues of the London Magazine, then released in book form in 1822. In 1845, De Quincey published Suspiria de Profundis, advertised as being a sequel to the Confessions. Then in 1856 he revised his Confessions, which became much longer. Since then, the two are usually published together, their complete titles being Confessions of an English Opium-Eater, Being an Extract from the Life of a Scholar, and Suspiria de Profundis: Being a Sequel to the “Confessions of an English Opium-Eater.” CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…