
Baisers
onbon
Mon petit amour,
Tes yeux noirs, ton regard
Transperçant le mien,
Font chavirer mon cœur.
Ô roses de sang, fleurs immaculées, vos jeux innocents dévorent mon cœur.
Jolie petite étoile aux quatre mille nuits,
M’offrant un beau visage où un sourire luit,
La sublime fleur bleue scintillant dans vos yeux,
Voilà le délice d’amour le plus précieux.
Les mots écarlates de l’amour, les couleurs de la passion, nos cœurs enflammés… nous ne dormirons pas ce soir, le crépuscule éveillera l’oiseau du désir. Vole, vole éternellement, désir ailé.
Ma belle, mon amie, douce fleur de lune,
A connu trois mille sept cent cinquante nuits.
M’offrant son sourire, doux baiser de prune,
Elle m’a regardé, voici qu’elle me suit.
Ce poème défend la pureté de la nudité. Mais les ignorants n’y verront que la “sexualisation” des jeunes filles.
La pureté est toujours nue,
Nue car pleine de retenue ;
Mais personne ne le comprend,
On la couvre de vêtements.
Où es-tu, fille aux grands yeux noirs
De neige, mon bonheur d’un soir ?
Je t’attends, mon amante bleue,
Mon soleil, mon cœur fabuleux. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…