Sur une jeune Courtisanne, dans Le cabinet satyrique

Alex Stevenson Diaz - Young Girl
Alex Stevenson Díaz – Jeune fille – provient de iamachild.wordpress.com

Mon deuxième choix dans le recueil Le cabinet satyrique (publié en 1632) est un poème écrit par le Sieur de Sygognes (peut-être Charles-Timoléon de Beauxoncles), louant une très jeune courtisane qui suit les traces de sa mère. La valeur n’attend pas le nombre des années, la petite se lance avec ardeur dans les combats amoureux. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…

Mes amours enfantines, par Guillaume Coliac

Kate Greenaway - Valentine
Kate Greenaway – Valentine (1876) – Wikimedia Commons

Place aux amateurs. L’auteur du poème présenté ici a fait des études en biologie et en chimie (DESS en Gestion de la Biodiversité et Master Recherche en Agro-sciences) ; il a également publié plusieurs recueils de vers, souvent inspirés par un mélange de science et de religion. Son recueil Poussières d’éternité rassemble essentiellement des œuvres de jeunesse, des poèmes rédigés entre ses dix-huit et vingt-deux ans. J’y ai sélectionné un sonnet consacré à ses amours d’enfance. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…

Mimi, dans Le Divan d’Amour du Chérif Soliman

Alexandre Roubtzoff - Jeune fille alanguie au harem
Alexandre Roubtzoff – Jeune fille alanguie au harem, Tunis, août 1945

En 1917 parut un petit livre érotique dans une édition réservée aux souscripteurs, imprimée en 810 exemplaires numérotés. Intitulé Le Divan d’Amour du Chérif Soliman et dédié « à tous les poètes orientaux et africains », il se présente comme un récit autobiographique traduit de l’Arabe. Il relate, dans un style orientaliste mêlant clichés et anachronismes, la vie amoureuse d’un Algérien nommé Soliman, de son adolescence jusqu’à l’arrivée de la vieillesse. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…

Qu’il faict bon aimer partout, attribué à Angoulevent

Charles Maurin - L'Aurore du rêve
Charles Maurin – L’Aurore du rêve (c1891) – provient de justineportraits.tumblr.com

Nicolas Joubert, sieur d’Angoulevent fut un fou célèbre sous le règne d’Henri IV, surnommé Prince des sots ou de la sottise. En 1615 parut sous son nom un recueil intitulé Les satyres bastardes et autres œuvres folastres du cadet Angoulevent, dont le véritable auteur est inconnu. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…