
Voici ma dernière sélection dans le recueil Mes baisers de vingt ans, un poème nostalgique de Delbergé, lui aussi dédié à Lucie Planques, son amour de jeunesse. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Voici ma dernière sélection dans le recueil Mes baisers de vingt ans, un poème nostalgique de Delbergé, lui aussi dédié à Lucie Planques, son amour de jeunesse. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Certains lieux isolés, où on peut se cacher, sont propices à l’amour. Delbergé écrit ainsi dans les derniers vers du poème « Horizon » :
Je n’avais pu trouver, je crois,
Cette maison où dans l’enfance
Nous avions aimé tant de fois.
Les tempêtes et les orages font de ces lieux des refuges opportuns, favorables à l’éclosion de l’intimité amoureuse : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Le poète occitan Delbergé aime la nature et beaucoup d’autres choses, mais préfère son amour de jeunesse Lucie Planques. Comme il écrit dans la dernière strophe du poème « Ce que j’aime » :
Mais j’aime mieux, vois-tu L…, ton doux sourire,
Et tes petites mains et ta bouche où respire
Ce que voudrait cacher, je crois, ton jeune cœur.
Six des poèmes de Mes baisers de vingt ans sont en effet dédiés à Lucie, et j’ai choisi le plus tendre d’entre eux : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Certains livres représentent plus que ce qu’ils semblent au premier abord. Derrière une histoire étrange peut se cacher un pouvoir que seul le désir exacerbé peut découvrir. Ainsi la fiction peut guider la réalité. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
L’écrivain occitan Victor Delbergé naquit le 1er mars 1850 et mourut en septembre 1920. On sait peu de choses sur sa vie, il participa à diverses revues littéraires. En 1880 il publia sous l’égide de l’Académie des muses santones un court recueil de vers sous le titre Mes baisers de vingt ans. Comme il l’explique dans la préface, il s’agit d’une œuvre de jeunesse écrite juste avant son vingtième anniversaire, qui dormit ensuite dans un tiroir, jusqu’à ce qu’il reprenne ces poèmes et choisisse le titre du recueil. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Que le dieu de la danse me vienne en aide ! Je célébrerai ses mystères. Qu’elle me revienne ! CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Mon deuxième choix dans le recueil Le cabinet satyrique (publié en 1632) est un poème écrit par le Sieur de Sygognes (peut-être Charles-Timoléon de Beauxoncles), louant une très jeune courtisane qui suit les traces de sa mère. La valeur n’attend pas le nombre des années, la petite se lance avec ardeur dans les combats amoureux. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
En 1632 parut Le cabinet satyrique, un recueil de poèmes satyriques et grivois attribués à divers auteurs. On y retrouve sous le nom de Pierre Le Loyer, sieur de la Brosse, le poème « Qu’il faict bon aimer partout », qui fut également attribué à Nicolas Joubert, sieur d’Angoulevent. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Place aux amateurs. L’auteur du poème présenté ici a fait des études en biologie et en chimie (DESS en Gestion de la Biodiversité et Master Recherche en Agro-sciences) ; il a également publié plusieurs recueils de vers, souvent inspirés par un mélange de science et de religion. Son recueil Poussières d’éternité rassemble essentiellement des œuvres de jeunesse, des poèmes rédigés entre ses dix-huit et vingt-deux ans. J’y ai sélectionné un sonnet consacré à ses amours d’enfance. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Aux époques de fausseté et de barbarie, rien ne vaut l’excès. La modération devient alors une faute. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…