
Certains lieux isolés, où on peut se cacher, sont propices à l’amour. Delbergé écrit ainsi dans les derniers vers du poème « Horizon» :
Je n’avais pu trouver, je crois,
Cette maison où dans l’enfance
Nous avions aimé tant de fois.
Les tempêtes et les orages font de ces lieux des refuges opportuns, favorables à l’éclosion de l’intimité amoureuse : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…