
Poets and Lovers, le phénix d’Agapeta, existe depuis six mois. Sa base de donnée fut créée sur un site expérimental le 17 mars, et il reçut son nom de domaine le 20. Voici son premier secret : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Poets and Lovers, le phénix d’Agapeta, existe depuis six mois. Sa base de donnée fut créée sur un site expérimental le 17 mars, et il reçut son nom de domaine le 20. Voici son premier secret : CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
L’amour réclame l’ivresse. Les nuits rouges se préparent dans les heures vertes, les lèvres des baisers enflammés se sont allumées avec un doux breuvage. Ma lointaine bien-aimée, la magie de la fée verte pourra-t-elle t’amener à moi ? CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Redoutant la répression impitoyable de l’Inquisition, le poète cache ses pensées hérétiques sous des vers dédiés à une Dame. Une boîte verrouillée, dont la clé est cachée dans une autre boîte, pleine de souvenirs, profondément enfouie… CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Today I present an erotic poem, probably full of hidden sexual meanings. Maybe the title refers to the Mons Veneris, and the four last verses of the first stanza also seem to hint at some sexual acts whose description was considered too obscene to be told explicitly in the early 20th century. The poem ends in ecstasy with a reference to Satan and Hell, as the latter seems to be more pleasurable than the Heaven of religion. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Un petit intermède coquin… un joli petit poème extrait de l’Anthologie satyrique : répertoire des meilleures poésies et chansons joyeuses parues en français depuis Clément Marot jusqu’à nos jours, publié par et pour la Société des bibliophiles cosmopolites, Tome Huitième, 1878. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Mon bonheur s’appelle jeune fleur,
Amie de mes jours, rêve de mes nuits.
Mourra le vieux monde, vivra notre amour.
Demain je poserai sur ses lèvres tendres
Dix baisers, pour la servir mille jours, mois,
Ans, siècles, pour l’éternité. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
I present again an erotic poem from White Stains. For Aleister Crowley, love is passionate, intense, erotic, but always short-lived, as he repeats “we must part, and love must die.” CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Ô roses de sang, fleurs immaculées, vos jeux innocents dévorent mon cœur.
Jolie petite étoile aux quatre mille nuits,
M’offrant un beau visage où un sourire luit,
La sublime fleur bleue scintillant dans vos yeux,
Voilà le délice d’amour le plus précieux.
Aleister Crowley (1875–1947) was an English occultist and writer, but foremost a libertine and a very bizarre man. Beside writing strange books, he created cults of which he was the guru. The British popular press called him “the wickedest man in the world.” CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Les mots écarlates de l’amour, les couleurs de la passion, nos cœurs enflammés… nous ne dormirons pas ce soir, le crépuscule éveillera l’oiseau du désir. Vole, vole éternellement, désir ailé.
Ma belle, mon amie, douce fleur de lune,
A connu trois mille sept cent cinquante nuits.
M’offrant son sourire, doux baiser de prune,
Elle m’a regardé, voici qu’elle me suit.