Dans la section Frissons de son recueil La Beauté de vivre publié en 1900, Gregh nous donne un poème mélancolique, le rêve d’un amour qui décline comme l’automne, perdant ses fleurs dans une lumière blafarde, avant de finalement mourir dans le froid d’une séparation. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Category: Fernand Gregh
L’Irréparable, par Fernand Gregh
Voici ma dernière sélection dans la première section du recueil La Maison de l’enfance. Deux enfants ont découvert les délices de l’amour charnel. Mais la transgression porte en elle la culpabilisation. Alors viennent les regrets, le sentiment d’avoir brisé quelque chose en eux. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Les Illusions, par Fernand Gregh
Deux enfants amoureux, les doigts enlacés, ont rêvé de leur avenir, bâtissant un décor somptueux flottant dans un mirage… mais l’âge adulte apporte bien des déceptions. Comme les trois précédents du même auteur, ce beau poème provient de la première section du recueil La Maison de l’enfance. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Éveil d’amour, par Fernand Gregh
Voici un beau poème lyrique célébrant le plus beau de tous les souvenirs d’enfance : la découverte de l’amour et de la sensualité. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Nous étions deux enfants… par Fernand Gregh
Voici mon deuxième choix de vers dans la première section du recueil La Maison de l’enfance. Comme le précédent, ce beau poème évoque avec nostalgie l’amour d’enfance perdu de l’auteur. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
La Maison de l’enfance, Prologue, par Fernand Gregh
Le poète et critique littéraire français Fernand Gregh, né le 14 octobre 1873 à Paris, fut condisciple de Marcel Proust au lycée Michelet ; jeune homme, il continua à côtoyer celui-ci. En 1892 il fonda avec d’autres écrivains une revue intitulée Le Banquet qui publia ses premiers vers, ainsi que ceux de Proust et les écrits d’autres jeunes auteurs. Il fonda en 1902 l’école humaniste qui avait l’intention de rendre à la poésie sa tradition romantique, suivant Hugo et Lamartine. Il s’opposait aux Parnassiens et souhaitait limiter l’influence du symbolisme. Il fut président de la Société des gens de lettres en 1949-1950, et élu à l’Académie française en 1953. Il mourut le 5 janvier 1960 à Paris. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…