
Contrairement aux autres poèmes du deuxième recueil de Minou, Le Pêcheur de lune, celui-ci n’est pas dédié. On peut donc imaginer qu’il s’adresse à un amoureux secret. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Contrairement aux autres poèmes du deuxième recueil de Minou, Le Pêcheur de lune, celui-ci n’est pas dédié. On peut donc imaginer qu’il s’adresse à un amoureux secret. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
The eighth poem of Rosa Mundi, and other love-songs tells us that the beauty, the kisses and caresses of the loved Italian girl will not last, in the same way as night must soon end with sunrise. There is no salvation in an afterlife, so we must enjoy the pleasures of earthly life without delay, thus live the bliss of the short love night. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Dans un précédent article, j’ai décrit comment Minou Drouet fit la connaissance d’un garçon de quinze ans, Philippe, amoureux d’elle, qu’elle finit par aimer. Dans ce poème de son deuxième recueil, Le Pêcheur de lune, publié en 1959, elle parle de la relation tendre qu’elle noua à huit ans avec un garçon de douze ans, avec qui elle jouait sur la plage. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Voici un beau poème d’amour, imagé et sensuel, le trente-troisième de la collection Premiers Vers, rassemblant les œuvres d’adolescence et de jeunesse de l’écrivain. La beauté de l’aimée, ses yeux et ses baisers, sont la vraie divinité. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Ma belle et moi, opposés en tout, irrésistiblement attirés, avons célébré nos noces chimiques, chaudes, fleuries et colorées. L’aube rouge se lève sur la guirlande de roses de notre union, qui brûle de la plus belle philosophie. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Of all poems in Rosa Mundi, and other love-songs, the most tender is the tenth. The poet compares the beloved girl with a flower fairy, whom he kisses and takes into his hands. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
In 1809–10, the poet George Gordon Byron briefly resided in Athens. He fell in love with the 12 years old Teresa Makri (Τερέζα Μακρή), in whose mother’s house he lodged. In a letter to Henry Drury he said to be “dying for love of three Greek Girls at Athens,” “Teresa, Mariana, and Kattinka.” Before departing for Istanbul, he wrote for Teresa the poem “Maid of Athens, ere we part.” It was first published in Childe Harold in 1812. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
La fleur qui s’ouvre est une porte sur le jardin des délices. Jour après jour, elle s’ouvre, nouvelle porte, menant à d’autres délices. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
Oscar Fingal O’Flahertie Wills Wilde was born on October 16, 1854 in Dublin, the second son of William Robert Wills Wilde, a famous otolaryngologist and ophthalmologist, and Jane Francesca Agnes Elgee, a poet and supporter of the Irish nationalist movement. His mother wanted a daughter, and as a toddler, Oscar was raised and clothed as a little girl. The feminine and intellectual way in which she educated him must have contributed to his sensitive and aesthetic temperament, quite opposed to that of his father. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…
« La petite gamine » est une chanson relativement peu connu de Christophe (Daniel Bevilacqua), datée de 1967. Elle figure comme 2e titre de la face B d’un 45 tours EP, sorti chez Barclay, dont les 3 autres titres sont « Je sais que c’est l’été » et « Le coup de fouet » sur la face A, puis « Les espagnols » sur la face B. Elle apparaît aussi comme face A d’un 45 tours single, également chez Barclay, et il y en eut aussi un tirage limité, réservé aux exploitants des juke-boxes et à la promotion. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…