
Dans sa petite enfance, Minou Drouet souffrait d’un strabisme très accentué et d’une grave déficience visuelle. Sa vue ne s’améliora qu’après l’opération de ses yeux par le professeur Paufique à Lyon, quand elle avait huit ans. Les aveugles et déficients visuels compensent souvent en développant les autres sens, en particulier l’ouïe et le toucher. Il semble effectivement que ce fut aussi son cas, comme le montrent certaines de ses lettres, citées ci-dessous. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…