
Le poème suivant rappelle les deux sonnets de Nicolas Boileau sur la mort d’une de ses nièces. Le poète regrette avoir ennuyé sa cousine avec ses leçons tant qu’elle vivait. S’il avait su qu’elle mourrait si tôt, il aurait profité de sa jeunesse, fait avec elle l’école buissonnière et empli sa vie de plaisirs. Il lui aurait donné tout son amour. CONTINUE READING / CONTINUER LA LECTURE…